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When we fail to invest in infrastructure, we pay the price.13" — Thomas Smith, ASCE executive director Barriers to investment activities in infrastructure According to a 2022 survey published by Statista Research14, infrastructure firms in the European Union and United States said that the availability of skilled staff was the biggest."

If you’re looking for a promising new market, don’t miss the free webinar, Doing Business in India. India is a priority market for Canada, and EDC supported $2.3 billion in Canada-Indian trade in 2016 alone, mainly with small and medium-sized Canadian companies. The webinar Doing Business in India is hosted by EDC’s representatives for the Indian."

La liste des entités ayant offert le meilleur rendement à ce chapitre en 2020 [en portugais et en anglais seulement] se compose de 30 entreprises et de 36 fonds d’actions dans 15 industries différentes. XIX USP International Conference in Accounting. http://www.tst.jus.br/certidao."

Désolé, quelque chose ne s'affiche pas correctement. Veuillez essayer plus tard. Contenu non accessible. Voici pourquoi. ouvrir. Je ne peux pas accéder à ce contenu. Pourquoi? Pour permettre le visionnement de ses webinaires, EDC achemine des données d'inscription à une application tierce partie. EDC devant protéger la vie privée des citoyens de l'UE et respecter la directive générale sur la protection des données, le visionnement automatique de nos webinaires ne peut se faire à partir de l'Europe. Prière de consulter l'avis de confidentialité d'EDC pour en savoir plus sur la façon dont nous protégeons votre information personnelle. Women in trade: Strategies to grow your business Learn how you can attract international buyers to grow your business globally. Réservez votre place avec MonEDC Vous n'avez pas de compte? En créer un ici S'inscrire au webinaire Merci pour votre inscription Vous pouvez vous connecter 15 minutes avant le début du webinaire. Consultez votre tableau de bord Mon EDC pour obtenir de l’info sur le commerce et des conseils d’experts, ainsi que pour voir les événements. Il y a eu une erreur. Veuillez réessayer plus tard. Juste une dernière étape! Date et heure mer., 16 novembre, 2022 13 h 00 - 14 h 00 ET Emplacement Online Despite cultural barriers, rising costs and saturated markets, Canadian women-owned and -led businesses are making a strong impact on the world. To help them overcome the challenges they face and grow beyond borders, it’s essential to develop the right export strategy to attract international buyers. Our upcoming webinar, Women in trade: Strategies to grow your business globally, can help you tap into your target markets, find global buyers, and make connections along the way. Join us live Thursday, Nov. 17, 2022 from 1 to 2 p.m. ET to learn about: The different types of market-entry strategies you can use to connect with an international buyer How to identify, target, and build relationships with international buyers and distributors How one Canadian company leveraged their connections to successfully enter a new market Where you can find the resources within Canada’s trade ecosystem to help you make plans to enter your target market and meet potential buyers Our Panel Moderator Catherine Beach National lead, Inclusive Trade, Women in Trade Export Development Canada Catherine Beach Speakers Angel Kho Co-founder LouLou Lollipop Cassandra Dorrington President & CEO Canadian Aboriginal and Minority Supplier Council Debra Boyce Trade Commissioner Global Affairs Canada Participants visés Canadian women-owned and women-led businesses that are currently connected or planning to connect with buyers, distributors and manufacturers to expand internationally. Réservez votre place avec MonEDC Vous n'avez pas de compte? En créer un ici S'inscrire au webinaire Merci pour votre inscription Vous pouvez vous connecter 15 minutes avant le début du webinaire. Consultez votre tableau de bord Mon EDC pour obtenir de l’info sur le commerce et des conseils d’experts, ainsi que pour voir les événements. Il y a eu une erreur. Veuillez réessayer plus tard. Accédez à toutes les informations GRATUIT d’EDC, y compris des webinaires, guides et ressources internationales en créant un compte MonEDC. Votre compte MonEDC est distinct de tous les comptes utilisés pour les produits d’assurance d’EDC. Avant de partir! Vous êtes maintenant abonné! Vous recevrez par courriel notre bulletin ExportActions, qui regorge d'informations essentielles pour les entreprises canadiennes. Date de modification : 2022-11-16"

L’Indonésie a pris des mesures considérables pour faciliter l’activité du secteur privé, mais l’environnement d’affaires demeure la plus grande contrainte pour les entreprises canadiennes qui cherchent à étendre leurs activités à ce marché. Voici certains obstacles :

• La faiblesse de la primauté du droit. Beaucoup de gens d’affaires dans le monde pensent que les organismes d’application de la loi et le système judiciaire sont sujets à l’influence de puissants intérêts locaux et qu’en cas de différend avec un partenaire d’affaires indonésien, il pourrait être difficile d’obtenir un traitement équitable. Même dans le meilleur des cas, sans la pression d’influence externe, le système judiciaire ne dispose pas nécessairement de l’expertise qu’il faut pour rendre un verdict crédible dans un différend commercial complexe.
• Tenter de comprendre des législations souvent contradictoires et le chevauchement des pouvoirs représente un autre problème pour les entreprises étrangères qui font des affaires en Indonésie, surtout si dans le cadre d’un projet, la société doit obtenir des permis d’utilisation des terres.
• La corruptionsévit depuis longtemps, bien que le gouvernement indonésien adopte des mesures pour lutter contre ce fléau.

Pour surmonter ces défis au moment de pénétrer ce marché, il faut réunir certaines conditions de base :

• L’entreprise doit être assez solide financièrement pour pouvoir effectuer de multiples voyages en Indonésie et avoir le temps et la patience qu’il faut pour nouer des liens solides avec des partenaires d’affaires locaux.
• Elle doit être en mesure de former une équipe d’experts techniques locaux qui s’occupera des questions juridiques, comptables et autres touchant l’exploitation.

Ressources supplémentaires

• Service des délégués commerciaux | SDC
• Visitez la page Info-pays et info-marchés d’EDC sur l’Asie du Sud-Est
• Conseils pour faire bonne figure en Asie du Sud-Est | EDC
• Faire des affaires en Indonésie | EDC
• La mission canadienne auprès de l’ANASE
• Le Canada-ASEAN Business Council (en anglais seulement)

Voici des termes et des applications mobiles utiles pour se débrouiller en Indonésie :

• Ojeks : taxis-motos.
• Grab (en anglais) : application singapourienne qui domine le marché du covoiturage dans plusieurs pays d’Asie du Sud-Est. Offre également des services de livraison et de mobilité.
• Gojek (en anglais) : service de covoiturage en ligne.

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Désolé, quelque chose ne s'affiche pas correctement. Veuillez essayer plus tard. Contenu non accessible. Voici pourquoi. ouvrir. Je ne peux pas accéder à ce contenu. Pourquoi? Pour permettre le visionnement de ses webinaires, EDC achemine des données d'inscription à une application tierce partie. EDC devant protéger la vie privée des citoyens de l'UE et respecter la directive générale sur la protection des données, le visionnement automatique de nos webinaires ne peut se faire à partir de l'Europe. Prière de consulter l'avis de confidentialité d'EDC pour en savoir plus sur la façon dont nous protégeons votre information personnelle. Managing cash flow to optimize business operations Discover the most effective strategies for managing cash flow, mitigating global risks, and implementing financial solutions. Juste une dernière étape! Date et heure jeu., 20 avril, 2023 13 h 00 - 14 h 00 ET Emplacement Online To navigate the challenges of an ever-changing global economy, Canadian businesses need to manage their cash flow effectively. This is particularly important when doing international business, where currency exchange risks and longer payment cycles can pose challenges. Accurate cash flow forecasting can help businesses make informed decisions about investing, borrowing, and managing expenses, enabling them to mitigate these risks and maintain financial stability. Join us live April 20, 2023 from 1 to 2 p.m. ET to learn: Best practices for managing cash flow and preparing for economic uncertainty Effective strategies for mitigating risks and financial challenges when doing business internationally Tips from a successful Canadian company on cash flow management strategies Our panel Moderator Supun Fernando Commercial Accounts Director Export Development Canada Speakers Nicolas Fontaine Senior business advisor BDC Advisory Services Sandra Filopoulos Co-Founder and Vice President of Sales Filo Imports Inc. Participants visés Decision-makers of Canadian businesses who are looking to improve their financial management skills and optimize their cash flow in a changing economy. Accédez à toutes les informations GRATUIT d’EDC, y compris des webinaires, guides et ressources internationales en créant un compte MonEDC. Votre compte MonEDC est distinct de tous les comptes utilisés pour les produits d’assurance d’EDC. Avant de partir! Vous êtes maintenant abonné! Vous recevrez par courriel notre bulletin ExportActions, qui regorge d'informations essentielles pour les entreprises canadiennes. Date de modification : 2023-04-20"

Móvil, AT&T México et Axtel-Alestra, le Mexique est aussi une porte d’entrée vers d’autres marchés attrayants d’Amérique latine. Ce pays peut donc servir de base aux entreprises de TIC canadiennes qui désirent percer de nouveaux marchés dans les Antilles, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Industrie légère Le marché mexicain est idéal pour les activités d’assemblage, étant donné les économies de coût concurrentielles qu’il permet, les grappes industrielles déjà présentes sur son territoire, sa position géographique stratégique, la qualité de sa main-d’œuvre et sa facilité d’accès. L’industrie légère au Mexique joue un rôle crucial vu sa contribution au développement économique du pays, à la production de biens de consommation et aux chaînes de valeur exigeant d’importants d’investissements. L’industrie légère cherche à améliorer son utilisation des technologies afin de conserver son attrait pour les investisseurs étrangers. Les produits et services suivants ont connu une très forte demande ces dernières années : • appareils médicaux • biotechnologies médicales • services de contrôle de la qualité • tests et services secondaires connexes • matières plastiques • technologies environnementales (ex. : équipement d’approvisionnement en eau) • gestion des déchets solides • recyclage • restauration des sols • surveillance de la qualité de l’air • gestion des déchets médicaux • génie de l’environnement • appareils de sécurité (ex. : systèmes de télévision en circuit fermé) • semi-conducteurs 2. SECTEURS PRIORITAIRES POUR LES EXPORTATEURS ET INVESTISSEURS CANADIENS Le Mexique est aussi une porte d’entrée vers d’autres marchés attrayants d’Amérique latine. Ce pays peut donc servir de base aux entreprises de TIC canadiennes qui désirent percer de nouveaux marchés dans les Antilles, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. 8Guide d’EDC | Faire des affaires au Mexique | Mars 2023 Automobile Le secteur de l’automobile du Mexique est mondialement reconnu pour sa remarquable capacité de fabrication de voitures, de véhicules lourds et de véhicules spécialisés ainsi que de pièces d’automobile. Le Mexique est le septième producteur et le cinquième exportateur du secteur mondial de l’automobile. Au pays, cette industrie contribue à 21 % du PIB de la fabrication. Ce secteur est un bénéficiaire net d’investissement direct étranger (IDE), dont 13 % de l’ensemble du capital étranger reçu par Mexique, Le Mexique est le septième construc- teur automobile du globe et le cinquième exportateur de véhicules. La filière automobile contribue à hauteur de 21 % du PIB de la fabrication du pays. en raison de sa position stratégique dans la région du Bajío (prononcé ba-hi-o), qui englobe quatre États cen- traux : Guanajuato, Aguascalientes, Querétaro et Jalisco. Étant donné cet emplacement favorable et la concentration de plus de 600 équipementiers ainsi que d’importants fournisseurs de premier et de deuxième niveau, le secteur offre des coûts de production concurrentiels, des chaînes logistiques efficaces et une main-d’œuvre qualifiée, ce qui maximise sans conteste le potentiel d’affaires pour les investisseurs et les fournisseurs canadiens. Les acteurs présents sur le marché mexicain cherchent des fabricants: • de pièces de moteur • de composants électriques • de boîtes de vitesses • d’essieux moteurs • de volants • d’appareils d’assemblage de précision • de pièces usinées • de pièces de véhicules hybrides • de suspensions • semi-conducteurs Les pièces de plastique, les composants électroniques et les technologies de réduction des émissions font aussi l’objet d’une forte demande. Depuis l’entrée en vigueur de l’ACEUM, des règles d’origine plus strictes pour le secteur de l’automobile visent à encourager la production à l’intérieur du Canada, des États-Unis et du Mexique, à maintenir la capacité concurrentielle de l’industrie automobile nord- américaine et à garantir des emplois bien rémunérés. Exploitation minière Selon le ministère de l’Économie du Mexique, le pays domine la production mondiale d’argent et fait partie des dix principaux producteurs de 16 minéraux : l’argent, le bismuth, la fluorine, la célestine, la wollastonite, le cadmium, le molybdène, le plomb, le zinc, la diatomite, le sel, le barite, le graphite, le gypse, l’or et le cuivre. Le pays également le cinquième bénéficiaire d’IDE pour l’exploitation minière et le premier bénéficiaire d’investissements miniers en Amérique latine. En 2019, le gouvernement du Mexique a recensé 234 entreprises d’exploitation minière étrangères au pays, dont 75 % étaient inscrites à la Bourse de Toronto (TSX). Cette statistique montre bien la complémentarité des deux pays. 2. SECTEURS PRIORITAIRES POUR LES EXPORTATEURS ET INVESTISSEURS CANADIENS En 2019, le gouvernement du Mexique a recensé 234 entreprises d’exploitation minière étrangères au pays, dont 75 % étaient inscrites à la Bourse de Toronto (TSX). https://www.international.gc.ca/trade-commerce/trade-agreements-accords-commerciaux/agr-acc/cusma-aceum/auto.aspx?lang=fra 9Guide d’EDC | Faire des affaires au Mexique | Mars 2023 Le Canada est un leader mondial des services d’exploitation minière et de la création de nouvelles technologies pour l’industrie minière. Plus de 3 000 entreprises canadiennes fournissent de l’expertise technique, juridique, financière, comptable, environnementale ou autre à cette industrie. De ce nombre, beaucoup sont présentes à l’étranger, notam- ment au Mexique. Avant 2017, beaucoup de clients mexicains souhaitaient avant tout accroître l’efficacité de leurs mines et réduire leurs frais d’exploitation. S’ils continuent d’accorder de l’importance à ces éléments, ils ont toutefois aussi commencé à se tourner vers l’innovation et à mettre en place des technologies de pointe, comme les technologies propres qui visent à réduire les émissions de carbone et à améliorer la gestion des eaux et le stockage d’énergie. Aéronautique Selon la Fédération mexicaine de l’industrie aéronautique (FEMIA), l’industrie aéronau- tique du Mexique croît de façon constante depuis 2004, année où le secteur ne comptait encore que 100 entreprises. Aujourd’hui, il y en a plus de 350, principalement dans les domaines de la fabrication (80 %); de la conception et du génie; des installations d’entretien, de réparation et de révision (MRO); et des services auxiliaires (essais de compagnies aériennes, centres d’entraînement, etc.) pour les aéronefs commerciaux et militaires. Le Mexique est un chef de file mondial du secteur aéronautique et le sixième exportateur vers le marché américain. Beaucoup d’entreprises étrangères du secteur de l’aéronautique ont établi leur chaîne d’approvisionnement en composants secondaires au Mexique pour profiter des frais d’exploitation peu élevés, du haut niveau d’instruction de la main-d’œuvre, des infra- structures aéronautiques bien développées et du cadre de réglementation solide qu’offre le pays. Bon nombre de ces entreprises se trouvent dans le Nord du pays. Dans cette région, les activités de la filière aéronautique porte surtout sur la production de nou- velles technologies et la promotion de grappes misant sur la collaboration entre divers acteurs : entreprises, universités, centres de R-D et bureaux des gouvernements locaux. Les quatre États les plus importants pour l’industrie aéronautique du Mexique sont les suivants : • Querétaro : Pièces de fuselage complexes, trains d’atterrissage et conception, fabrication, assemblage et entretien des turbines. • Basse-Californie : Conception de fuselages, centrales d’électricité, principaux sous-traitants pour les secteurs de l’aéronautique et de la défense. • Sonora : Développement des chaînes d’approvisionnement et de l’innovation dans la fabrication de turbines et d’aubes. Cet État démarque dans la sphère R-D où la Sonora Institute for Advanced Manufacturing and Aerospace collabore avec des sociétés privées. • Chihuahua : Innovation en matière de hautes technologies, notamment pour l’usinage de précision et les services de certification, de réparation et d’entretien. 2. SECTEURS PRIORITAIRES POUR LES EXPORTATEURS ET INVESTISSEURS CANADIENS 10Guide d’EDC | Faire des affaires au Mexique | Mars 2023 Foresterie Le secteur forestier du Mexique s’est fixé le grand but de se transformer en un segment plus durable de l’économie, en améliorant sa manière traditionnelle d’exploiter les ressources pour en tirer le meilleur parti sans menacer les écosystèmes du pays. Grâce à cette transformation, le secteur semble être bien positionné pour participer davantage à l’économie nationale en générant de nouveaux emplois qui favorisent les pratiques exemplaires, en offrant un éventail élargi de dérivés du bois et d’autres produits et en assurant une intégration complète de la chaîne de production forestière. Pour les fournisseurs canadiens, le secteur forestier du Mexique a du potentiel dans la production de divers produits de remplacement dérivés du bois, comme : • la viscose de cellulose (substitut potentiel du coton) • d’autres matières de cellulose spécial- isées pouvant servir dans les matériaux de construction (mortier et adhésifs) • dans la nourriture (modification des cristaux de glace) • dans la peinture (épaississant) • dans les produits pharmaceutiques (enrobage de comprimés). Il est à noter cependant que l’insertion de ces produits dans la chaîne d’approvisionne- ment est sensible aux prix. Le segment du commerce de détail pour l’amélioration domi- ciliaire pourrait aussi ouvrir de nouvelles portes aux producteurs de bois d’œuvre. Certaines des plus grandes multinationales du secteur sont établies au Mexique, où elles produisent divers biens de consommation : couches, lingettes, produits hygiéniques. Des"

Pour réussir en Asie du Sud-Est, vous pouvez passer en revue le guide Faire affaire en Asie du Sud-Est. Ce guide met en évidence les principaux secteurs d’activité du pays et décrit les risques et les avantages d’une expansion dans ce marché.

Ressources supplémentaires

• Pour accéder à d’autres guides, blogues et articles, visitez le site ExportActions d’EDC pour l’Inde.
• Visitez le site ExportActions d’EDC pour les pays d’Asie-Pacifique.

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ce qui comprend une usine de montage de VE et des installations de fabrication de batteries à Alliston, en Ontario. Lorsqu’elle entrera en activité en 2028, l’usine de montage visera une production annuelle de 240 000 VE. 0 20 000 40 000 60 000 80 000 100 000 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023 2024 Figure 1 : Exportations canadiennes de véhicules automobiles et de pièces (en M$) Sources : Haver; Statistique Canada Tableau 12-10-0175-01 de Statistique Canada Exportations totales Exportations américaines https://electricautonomy.ca/news/2024-03-06/2024-electric-dodge-charger-canada/ Secteurs en vedette – décembre 2024 | 7 Figure 2 : Principaux indicateurs de l’offre et de la demande pour les exportations canadiennes de véhicules automobiles et de pièces 14 000 000 1 000 000 15 000 000 1 400 000 16 000 000 1 800 000 17 000 000 2 200 000 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023 Source : Ward’s Automotive Group/Haver 18 000 000 2 600 000 Production de véhicules du Canada (unités) [axe de droite] Ventes de véhicules aux É.-U. (unités) [axe de gauche] 8 | Secteurs en vedette – décembre 2024 Agriculture à valeur ajoutée : secteurs actuels et émergents – Prince Owusu, économiste principal En 2023, le secteur canadien des produits agricoles primaires a contribué à hauteur de 1,6 % au produit intérieur brut (PIB) et à l’emploi. Toutefois, l’incidence du secteur sur l’économie est encore plus importante en raison de la chaîne d’approvisionnement de denrées alimentaires à valeur ajoutée. À cet égard, il convient de rappeler que la transformation alimentaire est le secteur de la fabrication le plus imposant au Canada puisque son apport représente 14 % de la production réelle du secteur de la fabrication et 16 % de l’emploi dans la fabrication en 2023. Portrait de la filière canadienne Le Canada cultive et exporte des produits agricoles primaires de qualité supérieure, notamment le canola et le blé ainsi que le bétail et les porcs. Si certains de ces produits sont exportés directement par navire, de nombreux autres sont transformés et empaquetés ici même au pays avant d’être vendus sur les marchés locaux ou à l’international. Or, la valeur ajoutée conférée à ces produits agricoles (en l’occurrence, les activités de transformation, d’empaquetage et de commercialisation) accroît les retombées du secteur sur l’économie. Les produits agricoles évoquent d’emblée l’image de champs de blé ondulant dans le vent ou encore de vastes troupeaux de bétail. Pourtant, la teneur à valeur ajoutée de pareils produits, issus de diverses transformations, est un concept plus difficile à facile à saisir. Pour mieux le cerner, nous vous proposons ci-dessous le portrait de quelques sous-secteurs d’intérêt : la transformation des viandes, les produits laitiers, la minoterie des céréales et des oléagineux, les pâtisseries, les boissons ainsi que les produits du tabac et du cannabis. Transformation des produits carnés La transformation des produits carnés est le premier sous- secteur de l’industrie alimentaire du Canada. Fait à noter, il contribue à un quart de l’apport économique et de l’emploi du secteur, ce qui comprend la transformation du bœuf, du porc, de la volaille et d’autres viandes en produits tels que les saucisses, les charcuteries et les plats congelés. Le bœuf albertain et le porc manitobain sont de produits phares de cette industrie. Les transformateurs de produits carnés du Canada sont réputés pour leur respect de normes élevées en matière de sécurité et de qualité alimentaires, ce qui rehausse leur attrait à l’échelle mondiale. Secteurs en vedette – décembre 2024 | 9 Sans surprise, les États-Unis sont la destination de choix des produits carnés canadiens. Néanmoins, l’entrée en vigueur en 2026 d’une nouvelle réglementation édictée par le Département américain de l’agriculture interdira la désignation des produits carnés canadiens comme étant d’origine américaine (« USA Product » ou « Made in America »), une décision qui pourrait se répercuter sur le secteur. Les exportateurs canadiens pourraient se tourner vers d’autres régions porteuses de débouchés, notamment l’Indo-Pacifique qui abrite une classe moyenne grandissante de plus en plus friande d’aliments riches en protéines. Produits laitiers Le secteur laitier canadien, reconnu pour son adhésion à des normes supérieures et à ses produits de qualité, est le théâtre de plusieurs activités à valeur ajoutée : production de fromages, de yogourt, de beurre, de lait et d’autres produits. Réputés pour leur goût riche et leur valeur nutritionnelle, les produits laitiers canadiens sont très prisés, tant au pays qu’à l’international. Le secteur peut compter sur un système efficace de gestion de l’offre qui assure la stabilité des prix au pays et la qualité. Or, le recours à ce système soulève un sujet de mécontentement chez certains partenaires commerciaux du Canada comme les États-Unis et la Nouvelle-Zélande 5. Précisons que, au sein de l’industrie alimentaire, la filière des produits laitiers contribue à hauteur de 12 % du PIB réel et de 11% de l’emploi. 5 En octobre 2024, la Nouvelle-Zélande a lancé une procédure imposant l’obligation de négociation avec le Canada en vertu de l’Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTGP), après qu’un panel d’arbitres a déterminé en 2023 que le système de quotas du Canada n’est pas cohérent avec ses obligations. Céréales et oléagineux Le Canada est un grand producteur de céréales et d’oléagineux, notamment de blé, de canola et de fèves de soja. La production de ces denrées comporte plusieurs activités à valeur ajoutée : transformer la matière première en farine, en céréales pour le petit-déjeuner, en huile de cuisson ou en nourriture pour les animaux. Les entreprises actives dans la transformation alimentaire peuvent compter sur des récoltes de qualité supérieure et de technologies de pointe, deux éléments essentiels pour produire une foule de produit correspondant aux besoins du marché. Les opérations de minoterie des céréales et des oléagineux pèsent pour 8 % du PIB réel de l’industrie alimentaire canadienne et pour 3 % de l’emploi dans cette filière. Pâtisseries et tortillas Le sous-secteur des pâtisseries et des tortillas est le troisième en importance de l’industrie alimentaire canadienne. Il contribue à hauteur de 16 % du PIB réel et de 20 % de l’emploi dans cette industrie. Cette filière est active dans la confection de pains, de biscuits, craquelins, de pâtes, de pâtisseries, de gâteaux et de tortillas. On recense d’autres sous-secteurs dans l’agroalimentaire qui présentent une valeur ajoutée : les aliments des spécialités, les fruits et les légumes, les collations, les sirops, les assaisonnements et d’autres aliments préparés périssables. Toutefois, les boissons et les produits du tabac occupent une faible part de l’activité économique et de l’emploi au sein de l’ensemble de l’industrie alimentaire. 25 % 8 % 8 %16 % 11 % 16 % Produits de viande Céréales et oléagineux (minoterie) Fruits, légumes et aliments de spécialité Pâtisseries et tortillas Produits laitiers Autres Figure 3 : Exportations de l’industrie alimentaire, selon les produits 10 | Secteurs en vedette – décembre 2024 Perspectives et secteurs en émergence Le secteur canadien de produits agroalimentaires à valeur ajoutée a fait preuve d’une remarquable capacité de s’adapter aux demandes en constante évolution du consommateur. Ces derniers privilégiant de plus en plus les aliments plus sains, notamment faits de blé entier et sans gluten, ainsi que des aliments riches en de protéines provenant de plantes et d’autres sources, les acteurs canadiens de l’industrie alimentaire étoffent leurs gammes de produits et adoptent des technologies novatrices en matière de transformation et empaquetage dans l’optique d’augmenter leur production et leurs exportations. Fait digne de mention, les céréales crues, les oléagineux et les animaux d’élevage de grande qualité provenant du Canada sont exportés aux quatre coins du globe. En 2023, le Canada a exporté près de 3 milliards de dollars en animaux vivants de même que 17,6 milliards de dollars en blé et en canola. Pourtant, ce secteur pourrait faire encore mieux sur la scène de l’exportation. En effet, ces produits agricoles bruts pourraient être transformés en produits intermédiaires ou finaux avant d’être exportés compte tenu des perspectives prometteuses de la filière canadienne de la transformation de produits agroalimentaires à valeur ajoutée. En parallèle, il faudra surveiller la progression du sous- secteur en émergence de la transformation des céréales et des oléagineux. En ce moment même, la construction de plusieurs installations de concassage du canola dans les Prairies fera passer les capacités canadiennes de 11,3 millions de tonnes à 18 millions de tonnes au cours des cinq prochaines années. Cette expansion est motivée par la demande croissance en biocarburants comme le diesel renouvelable6 et le biodiesel7. Les efforts déployés pour réduire les émissions carbone agissent comme un incitatif pour intensifier la production et la transformation des céréales, ce qui passe notamment par les installations de concassage et minoterie. Ainsi, au Canada, la production de biocarburants pourrait chaque année être bonifiée de 4 milliards de litres d’ici 20278, d’après les plans annoncés concernant la construction de nouvelles usines de transformation. Le raffermissement de la demande en biocarburants ouvre des débouchés porteurs pour les producteurs de récoltes à des fins énergétiques puisque, pour produire 1 milliard de litres de biodiesel, il faut environ 2,5 millions de tonnes métriques de canola. 6 Le diesel renouvelable est un diesel provenant de sources végétales et animales;"

portée. On ne parle pas seulement de climat et de transition énergétique. Les facteurs ESG concernent aussi la structure et la gouvernance de l’entreprise, ainsi que ses poli- tiques en matière de santé, de sécurité, d’inclusion, de diversité et d’équité. Mais il n’y a pas de solution universelle. La clé, c’est de déterminer les enjeux ESG qui touchent votre entreprise, puis de vous lancer. Comment les critères ESG permettent-ils aux entreprises dirigées par des femmes de se démarquer? Pour une entreprise, l’intégration de pratiques ESG à sa stratégie d’affaires confère un avantage concurrentiel. Cette démarche montre que vous comprenez les risques in- hérents à votre entreprise, ce qui rend celle-ci plus résiliente et attrayante aux yeux de toutes vos parties prenantes. Et vous ouvrez la porte à l’innovation. En effet, une bonne compréhension des risques et des lacunes vous permettra de trouver des solutions in- génieuses pour les atténuer, vous aidant du coup à vous démarquer de la concurrence et à accélérer votre croissance. Vous aimeriez en savoir plus? Consulter ce billet de blogue d’EDC. Une dernière chose… Ce qui mérite d’être fait mérite d’être bien fait. Voilà qui résume bien le contenu de ce guide et l’approche qu’EDC adopte pour soutenir l’entrepreneuriat au féminin. Nous le savons : les ressources offertes aux entrepreneures peuvent être déroutantes (et parfois décevantes). Nous espérons tout de même que les renseignements et les conseils fournis dans ce guide vous aideront à faire croître votre entreprise. Des questions? Une équipe d’EDC spécialisée dans ce domaine est là pour vous aider. Pour communiquer avec nous, cliquer ici. Demandes des médias : media@edc.ca ou 1­888­222­4065. Sources * Beckton, C., & McDonald, J. (2020). Croître sur le marché mondial – les femmes entrepreneures et l’exportation. Portail de connaissances pour les femmes en entrepreneuriat, Exportation et développement Canada, Banque de développement du Canada. https://wekh.ca/research/croi- tre-sur-le-marche-mondial-les-femmes-entrepreneures-et-lexportation/?lang=fr https://www.edc.ca/fr/blogue/plan-esg-pour-reussir-a-l-international.html https://www.edc.ca/femmes-en-commerce mailto:media%40edc.ca?subject= tel:+18882224065 mailto:https://wekh.ca/research/croitre-sur-le-marche-mondial-les-femmes-entrepreneures-et-lexportation/%3Flang%3Dfr?subject= mailto:https://wekh.ca/research/croitre-sur-le-marche-mondial-les-femmes-entrepreneures-et-lexportation/%3Flang%3Dfr?subject= À PROPOS D’EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA Qui nous sommes Exportation et développement Canada (EDC) est l’organisme de crédit à l’exportation du Canada. Notre mandat consiste à soutenir et à développer le commerce extérieur du Canada en aidant les entreprises canadiennes à profiter des débouchés offerts sur le marché international. Nous sommes une société d’État financièrement autonome, indépendante du gouvernement du Canada. Avis de non-responsabilité EDC ne garantit d’aucune façon l’exactitude, l’actualité ou l’exhaustivité des renseignements contenus dans la présente. EDC n’est aucunement responsable des pertes ou dommages occasionnés par une inexactitude, une erreur ou une omission causée directement ou indirectement par le présent document. Celui-ci ne donne aucun avis juridique, financier ou fiscal et ne doit pas être lu dans cette optique. Pour obtenir des conseils de cet ordre, consulter un professionnel compétent. © Exportation et développement Canada, 2022. Tous droits réservés."

Identifier et se connecter avec des partenaires et fournisseurs locauxCollaborer avec des partenaires peut vous aider à réduire les risques liés à la vente à l’international, notamment les réglementations complexes, les barrières linguistiques et les incertitudes du marché. Voici comment choisir un partenaire fiable :Le guide Processus de sélection des fournisseurs d’Info Entrepreneurs propose une approche étape par étape pour bien choisir ses fournisseurs.L’article de Shopify, Trouver un fabricant ou un fournisseur pour votre produit en 2025 (en anglais), compare les fournisseurs nationaux et étrangers. Il contient de nombreux conseils pratiques pour demander un devis et négocier les quantités minimales de commande.Le Guide étape par étape à l’exportation du Service des délégués commerciaux (SDC) peut vous aider à évaluer et sélectionner des partenaires.Étape 6 - Ouvrir les portes : entrer sur votre marché cibleÉtablir des liens avec des associations sectorielles locales peut faciliter l’identification de partenaires commerciaux potentiels.Agents et distributeursLes agents vendent vos produits pour vous. Vous conservez généralement le contrôle total sur les prix, l’image de marque, le marketing et les transactions financières. Il vous incombe aussi de gérer les vérifications de solvabilité et le dédouanement. Les distributeurs, en revanche, achètent vos produits pour les revendre. Ils prennent en charge la fixation des prix, le marketing, le dédouanement et le service à la clientèle.Le guide d’EDC Recherche et évaluation d’intermédiaires étrangers explique les avantages et les inconvénients de chaque modèle.Le guide «  Strategies for optimizing international distributors »  (en anglais) d’IBT Partners fournit des conseils sur l’identification et l’engagement de distributeurs (en ligne et hors ligne), leur accompagnement, la gestion de réseaux de distribution, les défis à anticiper, ainsi que les meilleures pratiques.Ressources complémentairesLes 7 étapes d’un processus d’approvisionnement stratégique (en anglais) | Trade ReadyGestion des relations fournisseurs : stratégies et bonnes pratiques (en anglais) | J.P. MorganEnListe d’EDC"

Le gouvernement de la Malaisie publie tous ses appels d'offres sur son site Web. Pour consulter la liste des possibilités d'approvisionnement actuelles, visitez le site Web suivant :

• MyGOV - Procurement (contenu en malis seulement)

• Pour avoir accès à d'autres guides et articles, visitez le site Web ExportActions pour la Malaisie d'EDC.

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à traiter localement avec leurs fournisseurs et sous-traitants dans le cadre de relations d’affaires à long terme. Il est en outre primordial que du soutien technique et de la formation soient disponibles en portugais, la langue locale, lorsque c’est nécessaire. Gardez en tête la taille et la diversité du pays. Le Brésil arrive cinquième au classement des plus grands pays du monde. Le portugais est la langue officielle partout, mais on remarque plusieurs différences culturelles à travers le pays, entre autres dans la manière de communiquer et de négocier avec des partenaires ou des clients. Le contexte local et régional devrait donc être pris en compte dans l’élaboration des stratégies d’interactions avec les clients. Par ailleurs, planifiez soigneusement vos déplacements, puisque vous aurez prob- ablement à prendre l’avion pour franchir les grandes distances qui séparent les villes. 1. 2. 3. 4. 5. CINQ RÈGLES D’ÉTIQUETTE IMPORTANTES BRÉSIL 7 https://www.edc.ca/fr/info-pays/pays/bresil.html https://www.international.gc.ca/world-monde/country-pays/brazil-bresil/index.aspx?lang=fra https://brazcanchamber.org/ https://www.linkedin.com/in/fernanda-custodio-7836692/ https://www.linkedin.com/in/monica-busch-0245a9/ https://www.edc.ca/fr/guide/conduite-des-affaires-responsable-au-bresil.html https://www.edc.ca/fr/guide/conduite-des-affaires-responsable-au-bresil.html COLOMBIE RELATIONS D’AFFAIRES EN EDC | Astuces culturelles pour faire des affaires en Amérique latine | Avril 2021 8 EDC | Astuces culturelles pour faire des affaires en Amérique latine | Avril 2021 COLOMBIE Faites des rencontres en personne. Même si vous avez un représentant qui s’occupe de vos affaires en Colombie, c’est avec vous et les membres de la haute direction de votre entreprise que vos interlocuteurs voudront négocier. En prenant le temps de les rencontrer, vous mettez toutes les chances de votre côté pour décrocher de futurs contrats. Profitez des outils virtuels modernes pour garder le contact. En Colombie, WhatsApp est l’un des moyens les plus rapides et populaires pour ce faire. Faites preuve de patience. Les affaires prennent plus de temps en Colom- bie qu’en Amérique du Nord, et vous aurez souvent l’impression d’avancer à reculons, mais ne vous découragez pas. Faites preuve de persévérance et continuez à faire le suivi. Restez à l’affut des nouvelles concernant ce marché et des événements qui pourraient influencer les appels d’offres. Menez un contrôle préalable. Prenez le temps d’apprendre à connaître votre client, de comprendre comment est dirigée son entreprise, et de con- sulter ses rapports de durabilité, ses plans annuels et ses perspectives sectori- elles. Vous gagnerez du temps et pourrez parler avec plus d’assurance lors des réunions. Il peut aussi être intéressant de rendre vos documents disponibles en espagnol. Vous montrerez ainsi à vos clients que votre entreprise est prête à passer aux choses sérieuses. Faites valoir ce que vous offrez. La Colombie est un marché sensible aux prix. Préparez-vous à présenter des arguments en faveur de votre solution, et mettez l’accent sur les besoins de vos clients et sur la valeur ajoutée que vous pouvez apporter à leurs activités. Rappelez-vous de toujours montrer aux clients les avantages qu’ils tireront de votre relation. Faites-leur sentir que vous êtes là pour eux. Mettez en place les struc- tures et les outils nécessaires pour soutenir vos clients avant, pendant et après les négociations. Une relation ne se termine pas une fois la transaction conclue, au contraire : établissez des partenariats durables. FAITS INTÉRESSANTS SUR LA COLOMBIE › Évitez d’aborder le sujet de la drogue et des cartels dans l’histoire du pays, ou même de faire référence à la série télévisée NarcosNarcos. › La Colombie compte plusieurs carrefours d’affaires; soyez prêt à rencontrer des entreprises basées hors de Bogotá, entre autres à Medellín, Cali et Barranquilla. › Si on vous offre un tintotinto lors d’une réunion, ne vous inquiétez pas : il s’agit de café, et non de vin rouge. POUR EN SAVOIR PLUS › Visitez la page Info-pays et info- marchés d’EDC sur la Colombie. › Visitez la page du Service des délégués commerciaux du Canada sur la Colombie. › Visitez le site Web de la Chambre de commerce Canada-Colombie. › Écrivez à Isalba Inzunza, la représentante en chef d’EDC pour la Colombie. 1. 2. 3. 4. 5. CINQ RÈGLES D’ÉTIQUETTE IMPORTANTES 9 https://www.edc.ca/fr/info-pays/pays/colombie.html https://www.deleguescommerciaux.gc.ca/colombia-colombie/index.aspx?lang=fra&_ga=2.104406595.213333257.1616179230-800857917.1616179230 https://www.cccc.com.co/ https://www.linkedin.com/in/isalbainzunza/ CHILI RELATIONS D’AFFAIRES AU EDC | Astuces culturelles pour faire des affaires en Amérique latine | Avril 2021 10 EDC | Astuces culturelles pour faire des affaires en Amérique latine | Avril 2021 Rencontrez votre contact ou votre client. Rien de mieux que des rencon- tres en personne pour percer ce marché. Les Chiliens recherchent une relation personnelle basée sur la confiance avec leurs fournisseurs. Pour entamer les discussions, des courriels ou des appels sont beaucoup moins efficaces que des rencontres en personne ou virtuelles. Un réseautage proactif et régulier est essentiel au succès. Planifiez vos rendez-vous deux semaines à l’avance, mais confirmez-les un ou deux jours avant. Soyez à l’heure et en tenue de ville. La première rencontre sert généralement à apprendre à connaître son interlocuteur, alors n’espérez pas conclure une entente tout de suite. Les Chiliens attendent généralement d’avoir discuté des détails d’une entente avec la haute direction avant de prendre une décision finale. Incorporez le bavardage à vos réunions. En mêlant un peu d’humour à une attitude professionnelle, vous obtiendrez un grand succès. Au Chili, les relations personnelles sont au cœur des affaires, alors ne soyez pas surpris si les discussions d’affaires commencent par un peu de bavardage. Apprenez quelques mots d’espagnol. Le milieu des affaires chilien est composé en grande partie de professionnels qui ont fait des études, voyagent à l’étranger et parlent anglais. Dans les échelons moins élevés, par contre, il se pourrait que l’anglais soit peu maîtrisé, d’où l’intérêt de parler espagnol ou d’avoir dans votre équipe une personne hispanophone. Le marketing des produits et le matériel promotionnel devraient également être rédigés en espagnol, et vos cartes professionnelles, en anglais d’un côté et en espagnol de l’autre. On distribue habituellement sa carte à tout le monde lors des réunions. Engagez sur place. Au Chili, un représentant ou un partenaire local vous sera d’une aide inestimable. De bonnes relations avec vos contacts locaux pourraient vous aider à régler les problèmes, et à gérer la logistique ou les appels de suivi aux clients. Il vous faut quelqu’un sur le terrain qui connaît les processus et la façon de penser du pays. Les acheteurs importants pourraient vous demander de conserver quelqu’un sur place pour assurer un bon service après-vente. Sachez différencier un « oui » d’un « non ». Les Chiliens n’aiment pas vraiment dire « non »; il faut donc savoir décoder leur langage corporel. Dans les grandes villes, vous obtiendrez plus souvent une réponse claire, mais il est possible que le « oui » de votre interlocuteur veuille malgré tout dire « non ». Il vaut donc mieux privilégier les rencontres en personne. Une conférence téléphonique peut vous laisser l’impression que tout va bien, alors que vous sauriez que ce n’est pas le cas si vous aviez pu observer le visage et le langage corporel de vos interlocuteurs. FAITS INTÉRESSANTS SUR LE CHILI › Le Chili est l’un des plus importants producteurs de vin au monde, et est reconnu comme l’une des meil- leures destinations vinicoles. › Avec ses 64 étages qui culminent à 300 mètres, la Gran Torre Gran Torre SantiagoSantiago est le plus haut gratte- ciel d’Amérique du Sud. › Le désert d’Atacama, qui s’étend sur 1 600 kilomètres, est l’un des endroits les plus secs au monde et sert de site d’essai pour des simu- lations d’expéditions martiennes. POUR EN SAVOIR PLUS › Visitez la page Info-pays et info- marchés d’EDC sur le Chili. › Visitez la page du Service des délégués commerciaux du Canada sur le Chili. › Visitez le site Web de la Chambre de commerce Canada-Chili. › Écrivez à Christian Daroch, le ges- tionnaire régional principal d’EDC pour le Chili. 1. 2. 3. 4. 5. CINQ RÈGLES D’ÉTIQUETTE IMPORTANTES CHILI 11 https://www.edc.ca/fr/info-pays/pays/chili.html https://www.deleguescommerciaux.gc.ca/chile-chili/index.aspx?lang=fra https://www.chile-canada-chamber.cl/inicio/ https://www.linkedin.com/in/christian-daroch-sagredo-a927613a/ RELATIONS D’AFFAIRES AU PÉROU EDC | Astuces culturelles pour faire des affaires en Amérique latine | Avril 2021 12 EDC | Astuces culturelles pour faire des affaires en Amérique latine | Avril 2021 Nouez des relations personnelles. Votre succès dépend en grande partie de vos relations, alors il est primordial d’établir un lien de confiance dès le départ. Préparez-vous à votre première rencontre avec vos clients en vous renseignant sur eux, sur leurs intérêts et sur les choses que vous avez en com- mun. Une fois que vous avez créé un lien, invitez votre interlocuteur à dîner ou à souper; en vous côtoyant dans une ambiance décontractée, il sera plus facile de bâtir une relation à long terme. Exprimez-vous dans leur langue. La plupart des Péruviens du milieu des affaires parlent et comprennent l’anglais. Toutefois, ils sont plus à l’aise lorsque la conversation se déroule dans leur langue. Ce n’est pas un obstacle majeur au début, mais si vous voulez avoir du succès à long terme, il est"

L’Indonésie est notre plus grand marché d’exportation en Asie du Sud-est, une région qui englobe 11 autres pays, dont la cité-État à revenu élevé de Singapour et des marchés émergents comme la Malaisie, la Thaïlande, les Philippines et le Vietnam. On y trouve un bon nombre de secteurs prometteurs pour les entreprises canadiennes, notamment :

• Le secteur agroalimentaire canadien exporte déjà en grande quantité vers l’Indonésie – pois, fève de soya, blé, graines d’oiseaux – et il présente encore un potentiel de croissance.
• Le marché de la viande bovine en Indonésie est compliqué pour toutes sortes de raisons, notamment le processus de certification halal obligatoire actuellement en transformation et la sensibilité des consommateurs locaux aux prix. Mais l’industrie avicole offre un vaste marché pour la farine de viande et d’os, produit qui sert à nourrir les poulets.
• Le secteur de l’éducation offre des débouchés aux fournisseurs de biens et de services canadiens en raison des lacunes du système public. Les services de formation professionnelle et de formation en entreprise sont un exemple des domaines de croissance pour les exportateurs canadiens.
• Le secteur de l’infrastructure et de l’énergie, les services de génie spécialisés, les technologies propres et les biens et services liés aux énergies renouvelables connaissent un essor à l’heure où l’Indonésie étend son réseau routier et développe ses réseaux de transport en commun, ses aéroports et ses services publics. Les PME canadiennes dont le produit occupe ce créneau pourraient trouver des débouchés.
• Le secteur des services numériques est en ce moment très dynamique. Les plateformes de covoiturage et de paiement mobile adaptées au marché local sont omniprésentes à Jakarta. On les utilise pour la livraison de nourriture, de médicaments ou d’autres biens ménagers ainsi que pour commander des services personnels. Au vu de cette popularité, les entreprises canadiennes de commerce électronique qui offrent des services numériques utiles aux entreprises ont tout avantage à explorer les débouchés en Indonésie.

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L’une des façons les plus efficaces de développer votre clientèle est de collaborer avec une entreprise partenaire. Outre vous faire bénéficier de publicité gratuite dans de nouveaux segments démographiques, les partenariats stratégiques vous permettent également d’apporter plus de valeur à vos clients existants. Ces collaborations sont profitables pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, à condition que chaque partenaire sache bâtir, cultiver et mettre à profit la relation. Il est cependant essentiel de trouver le bon partenaire. Une fois que c’est fait, vous pouvez travailler ensemble à la construction d’une entente qui vous bénéficiera à tous les deux pour les années à venir.

Un partenaire mondial doit constituer une extension naturelle de votre développement des affaires et de vos équipes de vente et vous permettre ainsi d’atteindre des marchés que vous ne pouviez explorer ou conquérir seul.

La plupart des entreprises en démarrage et des petites entreprises peuvent éprouver des difficultés à vendre leurs produits ou leurs services sur les marchés étrangers si elles n’ont pas de partenaire local. Cependant, même les entreprises de taille moyenne commencent souvent leur expansion internationale en formant un partenariat avec des représentants locaux avant de finalement recruter leur propre équipe sur place. Souvent, la localisation des produits et une solide stratégie d’entrée sur le marché sont des facteurs essentiels pour réussir une expansion sur le marché mondial.

Voici quelques pratiques exemplaires à suivre pour mener des affaires avec vos partenaires :

• Établissez des attentes claires et évitez la confusion chez les dirigeants, employés et clients des deux entreprises en matière de partage des recettes, de droits de propriété intellectuelle (PI), de rôles et de responsabilités.
• Considérez votre partenaire comme une extension de votre équipe et assurez-vous qu’il n’y aura pas de chevauchement dans les offres, ce qui pourrait devenir une source de compétition entre vous et votre partenaire.
• Laissez à votre partenariat l’occasion de fleurir. Vous ne mettez pas que vos ressources en commun, vous combinez également la capacité des deux entreprises à se développer aussi vite que possible.
• Faites toujours preuve d’honnêteté et de transparence : maintenez une communication ouverte et fréquente et cultivez les interactions personnelles.
• Assurez-vous que votre partenaire et vous partagez les mêmes valeurs, attentes et objectifs pour votre partenariat.

En collaboration avec nos partenaires de MaRS, nous avons créé des ressources utiles pour vous aider à établir des partenariats internationaux et vous exporter. Vous pouvez notamment lire cet article de notre programme conjoint Collection de ressources à l’appui de la croissance internationale.

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Hong Kong est l'un des centres financiers internationaux les plus importants au monde. En 2022, l'industrie des services financiers était le principal moteur de son produit intérieur brut (PIB), suivie par l'industrie du commerce et de la logistique.

Les ressources suivantes vous aideront à obtenir des informations et des données commerciales sur les relations commerciales entre le Canada et Hong Kong :

Données sur le commerce en direct

• Données sur le commerce en direct est un outil puissant d'Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISDE) qui permet de produire des rapports personnalisés sur les échanges commerciaux du Canada avec plus de 200 pays. Les rapports suivants peuvent vous intéresser :
• L’Explorateur du commerce international, 2023décrit les diverses relations commerciales entre le Canada et Hong Kong.
• Nous vous recommandons de commencer votre exploration à partir de données sur le commerce international et connaissance des marchés.

**Le Conseil d’affaires Canada-Chine (CCBC) **

• Le CCBC est le porte-parole de la communauté d'affaires canadienne sur les questions touchant les affaires, le commerce et l'investissement entre le Canada et la Chine. En devenant membre, vous pouvez accéder à diverses données sur le commerce et l'investissement entre Hong Kong et le Canada.
• Le rapport 2022 Hong Kong-Canada Economic Ties report du CCBC donne un aperçu factuel des relations entre le Canada et Hong Kong en matière de commerce, d'investissement et d'immigration.

**Service des délégués commerciaux (SDC) **

• Le SDC a des bureaux dans le monde entier et a aidé des entreprises à entrer en contact avec des partenaires locaux sur le marché.
• Vous pouvez à l'adresse: infocentrechina@international.gc.ca.
• Le SDC a également publié un profil du secteur du poisson et des fruits de mer Hong Kong et Macao qui pourrait vous intéresser. Ouvrez un compte MonSDC pour accéder au rapport.

L’Agence fédérale de développement économique (FedDev) Ontario

Une autre option pour obtenir des données sur les marchés est de travailler avec un consultant qui peut vous aider à réaliser une étude de marché pour vos produits spécifiques.

• FedDev Ontario - Services aux petites entreprises offre des services gratuits d'études de marché aux entreprises de l'Ontario et peut personnaliser des études sur votre secteur industriel, les tendances et les possibilités en Amérique du Nord. Pour obtenir de plus amples renseignements, communiquez avec eux au 1-888-576-4444 ou par courriel à l'adresse info@feddevontario.gc.ca.

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grande entreprise. • Elles peuvent profiter des compétences en commerce de la grande entreprise, de sa force de vente et de sa clientèle. • Elle peut profiter d’occasions communes de formation ou d’investissement. • Le partenariat peut aider l’entreprise à atténuer certains risques, comme le coût d’entrée, le risque de non-paiement, la perte de marchandises et une demande initialement faible. Pour persuader une grande entreprise de conclure un partenariat, l’exportateur novice doit attirer l’attention des décideurs, ce qui se fait habituellement dans le cadre d’activités de réseautage avec les associations sectorielles et les chambres de commerce. Une fois qu’il a l’oreille de son interlocuteur, il doit démontrer qu’il peut représenter une plus-value pour la grande entreprise à long terme. Il doit offrir quelque chose d’unique, comme un produit ou un service sur mesure, ou une façon d’accroître l’adaptabilité et la valeur des activités de la grande entreprise. 4. Suivre son client Les entreprises qui vendent à des sociétés canadiennes présentes dans d’autres pays ont souvent la possibilité de les suivre sur les marchés étrangers. Par exemple, si une petite entreprise vend des composants électroniques à une société d’Halifax affiliée à une autre au Mexique, elle pourra sans doute vendre directement aussi à l’entreprise mexicaine. En procédant ainsi, on élimine en grande partie les risques posés par la pénétration d’un nouveau marché. Deuxième avantage, les transactions de l’exportateur avec l’entreprise affiliée lui permettront de se familiariser avec le marché local et lui donneront une présence sur place, ce qui l’aidera à y trouver d’autres clients. Suivre un client canadien à l’étranger peut également protéger les ventes de l’entreprise si son client y délocalise une partie ou la totalité de sa production. Ce peut aussi être une occasion d’augmenter son chiffre d’affaires si les activités étrangères du client entraînent une augmentation globale de sa production. Dans le secteur des services, suivre un client peut ouvrir d’excellentes occasions d’expansion à l’étranger. Ainsi, en servant un client connu, une entreprise peut aborder un nouveau marché étranger en prenant relativement peu de risques. Elle se fait ainsi davantage connaître sur le marché, ce qui peut lui valoir de nouveaux clients locaux. ExEmplE : AmrikArt L’entreprise montréalaise Amrikart propose des services de mesure de précision de pointe à de grandes entreprises aéronautiques, comme Bombardier. Grâce à ses relations avec ce fabricant canadien, elle trouve des clients aux États-Unis et au Mexique. ExEmplE : mAcrotEk Malgré sa petite taille, Macrotek s’est trouvé un créneau porteur en travaillant avec de grandes sociétés minières multinationales à qui elle fournit des systèmes antipollution atmosphérique. Le partenariat de Macrotek avec Sherritt International dans un grand projet cubain, par exemple, a débouché sur une invitation à participer à un plus gros contrat avec des partenaires coréens et japonais. Pour tout renseignement, visitez edc.ca This document is also available in English. EDC est propriétaire de marques de commerce et de marques officielles. Toute utilisation d’une marque de commerce ou d’une marque officielle d’EDC sans sa permission écrite est strictement interdite. Toutes les autres marques de commerce figurant dans ce document appartiennent à leurs propriétaires respectifs.Les renseignements présentés peuvent être modifiés sans préavis. EDC n’assume aucune responsabilité en cas d’inexactitudes dans le présent document. © Exportation et développement Canada, 2015. Tous droits réservés. 5. s’associer à une entreprise locale Outre les entreprises canadiennes, les entreprises locales déjà présentes sur le marché étranger peuvent s’avérer de bons partenaires pour les exportateurs. En effet, les partenaires locaux peuvent apporter une connaissance du terrain et des contacts sur place, ce qui est extrêmement précieux lorsque l’on arrive sur un marché étranger. Ils peuvent aussi ouvrir la porte sur d’autres pays. Un partenariat avec une grande entreprise brésilienne, par exemple, peut donner accès non seulement à des clients brésiliens, mais aussi à des acheteurs sur d’autres marchés émergents sud-américains, voire au-delà. Le marché mondial étant en constante évolution et de plus en plus exigeant, la diversification aide l’exportateur à protéger son chiffre d’affaires contre les risques associés aux fluctuations des marchés. Il existe plus d’une façon de pénétrer un marché. Chaque entreprise a des besoins, des seuils de tolérance, des capacités et des défis particuliers. Peu la stratégie d’entrée choisie, l’entreprise doit consulter des experts qui l’aideront à se renseigner sur le marché, à évaluer les risques et à trouver une aide financière. La question n’est donc pas de savoir si votre entreprise devrait ou non diversifier ses marchés, mais plutôt de déterminer quelle stratégie d’entrée est la mieux adaptée à vos besoins et à vos objectifs particuliers. Nous vous aiderons à trouver la réponse. financement. protection de l’actif. gestion des risques. EDC peut vous aider à y voir plus clair. • Besoin de financement pour prendre de l’expansion à l’étranger? Nous pouvons vous aider à l’obtenir. • Besoin d’assurer vos comptes clients à l’étranger? Nous pouvons vous montrer comment. • Besoin de gérer des risques à l’étranger? Nous pouvons vous aider à y parvenir. Pour en savoir plus, consultez Nos Solutions en composant le numéro sans frais 1 800 229-0575 ou écrivez-nous. Nous répondons aux demandes dans le jour ouvrable suivant (en semaine, entre 9 h et 17 h HE). www.edc.ca http://www.edc.ca/FR/Our-Solutions/Financing/Pages/default.aspx https://www.edc.ca/FR/Our-Solutions/Insurance/Credit-Insurance/Pages/default.aspx https://www.edc.ca/FR/Our-Solutions/Insurance/Pages/default.aspx https://www.edc.ca/forms/Admin/FR/Pages/Product-Inquiry-Form.aspx?lang=f&src=EDC&code=EDC&s_products=LeadGen%3bEDCInquiry_f%3b1%3b0"

Désolé, quelque chose ne s'affiche pas correctement. Veuillez essayer plus tard. Contenu non accessible. Voici pourquoi. ouvrir. Je ne peux pas accéder à ce contenu. Pourquoi? Pour permettre le visionnement de ses webinaires, EDC achemine des données d'inscription à une application tierce partie. EDC devant protéger la vie privée des citoyens de l'UE et respecter la directive générale sur la protection des données, le visionnement automatique de nos webinaires ne peut se faire à partir de l'Europe. Prière de consulter l'avis de confidentialité d'EDC pour en savoir plus sur la façon dont nous protégeons votre information personnelle. Growing your business with diverse suppliers Learn how to implement a supplier diversity program to grow your business. Juste une dernière étape! Date et heure jeu., 17 août, 2023 13 h 00 - 14 h 00 ET Emplacement Online Strength through diversity is one of Canada’s founding principles, but too often, we don’t realize the benefits it can have on our business. One of the biggest barriers to diverse suppliers is a lack of awareness about how diversity and inclusion can be profitable—not to mention, the right thing to do. Diverse suppliers can drive economic growth, promote innovation, foster inclusivity, and provide a competitive edge in the market. Check out our webinar to learn how to integrate certified diverse suppliers into your supply chain and why it’s important for your business growth. Join us on Thursday, Aug. 17, 2023, from 1 to 2 p.m. ET as we discuss: The strategic benefits for all Canadian companies of establishing a supplier diversity program and how it aligns with your company’s growth objectives How Canadian businesses owned by equity seeking groups can become a certified diverse supplier and how competing in supplier diversity programs can help you reach your international business goals How one company benefited from being certified and leveraged supplier diversity programs to grow Our panel Moderator Jennifer Cooke Director - Inclusive Trade Export Development Canada Jennifer Cooke Speakers Dionne Laslo Baker Founder & CEO DeeBee’s Organics Ann-Marie Anderson Advisor, Canadian Supplier Diversity BMO Financial Group Duane Robson Consul and Senior Trade Commissioner Consulate General of Canada in Dallas Participants visés Canadian businesses of all sizes looking to include diverse suppliers into their business strategy, as well as small businesses with diverse ownership. Accédez à toutes les informations GRATUIT d’EDC, y compris des webinaires, guides et ressources internationales en créant un compte MonEDC. Votre compte MonEDC est distinct de tous les comptes utilisés pour les produits d’assurance d’EDC. Avant de partir! Vous êtes maintenant abonné! Vous recevrez par courriel notre bulletin ExportActions, qui regorge d'informations essentielles pour les entreprises canadiennes. Date de modification : 2023-08-17"

Voici quelques secteurs d'exportation clés pour les entreprises canadiennes qui souhaitent s'implanter en Indonésie :

• Technologie : Avec près de 200 millions d'utilisateurs actifs d'Internet et une classe moyenne en plein essor, les secteurs indonésiens de la technologie et de l'innovation sont florissants et attirent le soutien international. Certains sous-ensembles de l'économie numérique, comme l'intelligence artificielle (IA), connaissent une croissance rapide.
• Services numériques : L'exportation de services numériques offre également des opportunités aux entreprises canadiennes dont la technologie soutient le commerce électronique, le covoiturage et les plateformes de paiement mobile.
• Agroalimentaire : Les exportations canadiennes de produits agroalimentaires, en particulier de pois, de soja, de blé et de semences, se sont bien comportées à l'égard de l'Indonésie, mais il y a encore de la place pour la croissance.
• Éducation : La formation professionnelle et l'éducation ont été mises en évidence comme des domaines clés d'opportunités pour les entreprises canadiennes, car l'investissement dans le capital humain est nécessaire pour accélérer la croissance économique.
• Infrastructure : Les besoins constants de l'Indonésie en matière d'infrastructures représentent un énorme potentiel pour les investisseurs et les exportateurs canadiens. Avant la conférence COVID-19, l'Indonésie avait besoin de plus de 507 milliards de dollars en infrastructures et l'activité continue d'exploser.
• Minéraux : Les ressources minérales brutes de l'Indonésie, telles que le charbon, le lithium et le nickel, en font un partenaire commercial intéressant, en particulier pour les partenaires connectés aux chaînes d'approvisionnement des véhicules électriques.

Ressources supplémentaires:

• Marchés prometteurs pour les exportateurs canadiens | Export Développement Canada (EDC)
• Indonesia - Country Commercial Guide | U.S. Department of Commerce (en anglais)

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activités et les méthodes d’analyse qui nous permettent de déterminer si nous accorderons notre appui à un exportateur ou à un investisseur canadien. Les efforts désormais déployés pour augmenter la visibilité des activités d’EDC sont une priorité constante de la Société. Ils visent à faire tomber les barrières bloquant l’accès à l’information et à bien intégrer la transparence à la culture d’EDC pour favoriser un dialogue menant à des décisions viables à tous les niveaux de la Société. Parmi les nouvelles grandes initiatives en chantier, notons la création et la publication sur le site Web d’EDC de sa Feuille de route de contrôle préalable des transactions. Cette représentation graphique clarifiera le processus de contrôle préalable qu’EDC applique aux prêts aux entreprises et présentera plusieurs des facteurs examinés (risques financiers, environnementaux, sociaux et de gouvernance). Il permettra également aux parties prenantes de prendre connaissance des contrôles nombreux et importants dont fait l’objet chaque occasion avant qu’un soutien ne soit octroyé. 43 Une autre grande initiative visant à renforcer l’engagement d’EDC en matière de transparence et à aligner ses pratiques sur les priorités de la société civile est son appel au public pour solliciter des observations et des commentaires constructifs à l’égard de ses politiques de gestion des risques environnementaux et sociaux, dans le cadre de l’examen de la Politique de gestion des risques environnementaux et sociaux de la Société. Ce volet de consultation publique de l’examen se terminera au troisième trimestre de 2018, et EDC produira, vers la fin de l’année, une synthèse des principaux points qui ressortent de ces observations et commentaires. Cette synthèse sera intégrée au rapport d’examen final prévu au début de 2019. Dans le cadre de l’examen de la Politique de gestion des risques environnementaux et sociaux, EDC a sollicité des commentaires sur ses politiques de divulgation, qu’elle compte actualiser. Par suite des observations provenant du Conseil consultatif sur la RDE et d’autres canaux, EDC admet la nécessité de corriger certaines pratiques de transparence pour répondre aux besoins de parties prenantes importantes. Au-delà de la divulgation d’information spécifique aux transactions, EDC explore diverses avenues pour accroître sa transparence et fournir plus d’information sur ses politiques et procédures concernant les secteurs sensibles aux questions de RDE, comme la défense et les substances réglementées. EDC entend appliquer les politiques de divulgation révisées dès la fin du premier trimestre de 2019. 4.5 MARCHÉS PRIORITAIRES ET DIVERSIFICATION DU COMMERCE Les États-Unis demeureront le premier marché d’exportation du Canada dans un avenir prévisible et présenteront encore d’excellentes possibilités de ventes pour les exportateurs canadiens. Cela dit, une mutation s’opère : le commerce canadien se diversifie. En effet, la part des exportations aux États-Unis s’effrite, cédant le pas à la croissance des exportations vers d’autres pays, surtout les marchés émergents. EDC joue un rôle central pour aider les entreprises canadiennes à élargir l’éventail des marchés où elles peuvent trouver des occasions. Selon nos recherches, la réticence des entreprises à diversifier leurs marchés d’exportation découle d’un ensemble de facteurs : ignorance des possibilités, perception amplifiée du risque et importance du temps et de l’argent investis pour convaincre des clients potentiels à l’étranger. EDC continuera à aider les entreprises canadiennes à s’adapter et à surmonter ces obstacles grâce à sa gamme élargie de produits et services et à son réseau grandissant de représentations à l’étranger, situées dans les grands centres d’affaires du monde. Au Canada, elle développera son soutien aux entreprises qui exportent aux États-Unis, surtout pour les PME et celles qui font leurs premiers pas à l’étranger. États-Unis L’avenir du commerce canado-américain doit être considéré dans la perspective d’un partenariat économique à long terme solide et profondément intégré; c’est l’une des relations commerciales bilatérales les plus fructueuses du monde. Force est de reconnaître néanmoins que la récente transformation des politiques commerciales américaines a mis des bâtons dans les roues de plusieurs entreprises canadiennes voulant commercer avec les États-Unis. Les tensions commerciales entre le Canada et les États-Unis sont source de maux de tête pour les exportateurs, grands et petits. D’ailleurs, EDC déplore que des entreprises prêtes à exporter puissent être dissuadées de se servir du marché américain comme tremplin d’exportation, ce qui a été une stratégie gagnante pour beaucoup de nouveaux exportateurs, comme mentionné plus haut. La reprise de l’économie américaine continuera d’offrir un terreau fertile pour les produits canadiens; c’est pourquoi, compte tenu des problèmes actuels, de plus en plus d’exportateurs demandent le soutien d’EDC pour saisir les débouchés commerciaux aux États-Unis. EDC prendra donc des mesures précises pour aider les PME qui n’exportent pas encore à commencer à vendre leurs produits aux États-Unis, et celles qui y sont déjà, à faire croître leurs ventes. Notre stratégie américaine passe par une meilleure collaboration avec le Service des délégués commerciaux, dans le but de repérer les débouchés et de mettre en relation les PME avec des acheteurs potentiels. Les webinaires et les ressources d’information d’EDC seront conçus en fonction des PME, pour qu’elles aient rapidement de l’information et des conseils d’experts sur le marché américain. EDC 44 établira aussi ses premières représentations aux États-Unis (à Chicago et Atlanta) tout en cherchant des possibilités d’y établir d’autres bureaux à compter de 2019. La Société veillera à ce que ses clients profitent au maximum de son savoir, de sa présence et de ses relations aux États-Unis. Europe occidentale Depuis le dernier examen législatif d’EDC, l’Europe occidentale s’est imposée comme marché prioritaire de la Société, vu la croissance soutenue du nombre de clients servis et du volume d’activités. En 2010, nous ouvrions une représentation à Düsseldorf, en Allemagne, la première sur un marché développé. En 2016, nous élargissions notre présence en Europe occidentale avec une représentation à Londres (Royaume-Uni), qui, aujourd’hui, compte un vice-président régional local. Cette présence européenne a permis d’approfondir nos relations avec les institutions financières et les acheteurs locaux, d’établir le potentiel d’approvisionnement canadien, et d’offrir des solutions financières propres aux marchés (par exemple, la structure de prêt Schuldscheindarlehen en Allemagne), le tout au bénéfice des exportateurs canadiens. De plus, notre représentation au Royaume-Uni offre des ressources sur le terrain pour aider les clients à gérer l’incertitude entourant le Brexit. L’AECG, le nouvel accord commercial historique canado-européen, donne aux entreprises canadiennes un accès privilégié à l’Union européenne, un marché dynamique de 20 billions de dollars. L’Accord élimine 99 % des tarifs douaniers sur les exportations canadiennes vers l’UE, tout en améliorant la mobilité de la main-d’œuvre, la protection de l’investissement et la reconnaissance des normes et des certifications de produits courantes. EDC réserve de ses ressources pour s’assurer que les entreprises canadiennes sont bien positionnées pour tirer pleinement parti de l’accès privilégié créé par l’AECG et maximiser les retombées de l’accord pour le Canada. En collaboration avec le Service des délégués commerciaux, elle tient divers événements en Europe et au Canada pour faire valoir le marché européen auprès des exportateurs canadiens. Si l’accès au financement est primordial, les exportateurs canadiens soulignent aussi l’importance des connaissances et des relations d’EDC sur le marché. EDC prévoit fournir plus de services financiers et autres à un nombre croissant d’entreprises, à mesure que les exportateurs commencent à considérer les débouchés qui s’ouvrent en Europe. Nous continuerons de travailler en étroite collaboration avec le Service des délégués commerciaux du Canada pour aider les exportateurs à convertir l’accès privilégié au marché dont jouit le Canada en de nouveaux débouchés. Diversification du commerce : pleins feux sur l’Asie Les stratégies d’EDC sur les marchés étrangers n’ont pas de frontières, ce qui veut dire qu’elles s’appliquent aussi aux marchés émergents. La Société joue un rôle important pour encourager les entreprises canadiennes à se diversifier et à pénétrer ces nouveaux marchés à forte croissance et à haut potentiel, et les outiller à cette fin. Soulignons tout particulièrement la participation d’EDC à l’élaboration et à l’exécution de la stratégie ciblée du gouvernement visant à promouvoir le commerce et les investissements en Asie, en portant une attention particulière à la Chine et à l’Inde. Au cours des cinq dernières années, EDC a facilité des échanges commerciaux valant près de 50 milliards de dollars entre le Canada et l’Asie. Depuis l’ouverture de la première représentation internationale d’EDC à Beijing il y a plus de 20 ans, l’Asie est une région stratégique de la Société. Ces dernières années, nous y avons renforcé notre présence, ouvrant notamment notre toute première succursale autonome à Singapour en 2017. Cette initiative stratégique, qui s’aligne sur l’importance que le gouvernement du Canada donne à la région, visait à donner un avantage concurrentiel aux entreprises canadiennes et à les aider à profiter des importants débouchés de cette région, qui connaît la croissance économique la plus rapide au monde. À la fin de 2017, nous avons ouvert notre première représentation en Australie,"

Frais de voyages - avril 2023 Description Destination Billet d'avion/train Autres transports Hébergement Repas et frais divers Autre Total AVRIL 2023 12 - 21 mai Développement des affaires Jakarta - Singapore 7,535.50 $ - $ - $ - $ 7,535.50 $ Total des frais de voyages - avril 2023 7,535.50 $ Frais d'accueil - avril 2023 Description Participant Lieu Total AVRIL 2023 aucune dépense à rapporter Total des frais d'accueil - avril 2023 - $ Total Disclosure: 7,535.50 $ Exportation et développement Canada - Lorraine Audsley, Première vice-présidente et chef du commerce durable Avril 2023"

Désolé, quelque chose ne s'affiche pas correctement. Veuillez essayer plus tard. Contenu non accessible. Voici pourquoi. ouvrir. Je ne peux pas accéder à ce contenu. Pourquoi? Pour permettre le visionnement de ses webinaires, EDC achemine des données d'inscription à une application tierce partie. EDC devant protéger la vie privée des citoyens de l'UE et respecter la directive générale sur la protection des données, le visionnement automatique de nos webinaires ne peut se faire à partir de l'Europe. Prière de consulter l'avis de confidentialité d'EDC pour en savoir plus sur la façon dont nous protégeons votre information personnelle. From local to global: Get financing to grow your business When it comes to getting financial support to grow your business, preparation is key. Learn how with our webinar. Réservez votre place avec MonEDC Vous n'avez pas de compte? En créer un ici S'inscrire au webinaire Merci pour votre inscription Vous pouvez vous connecter 15 minutes avant le début du webinaire. Consultez votre tableau de bord Mon EDC pour obtenir de l’info sur le commerce et des conseils d’experts, ainsi que pour voir les événements. Il y a eu une erreur. Veuillez réessayer plus tard. Juste une dernière étape! Date et heure jeu., 29 septembre, 2022 13 h 00 - 14 h 00 ET Emplacement Online Whether you’re a new startup or a seasoned business owner, it’s no secret that cash is king. Exploring new opportunities, expanding into international markets, or simply dealing with day-to-day operations all require the right cash flow. While getting financial support may seem like a daunting task, we’re here to help you get prepared. Our upcoming webinar, From local to global: Get financing to grow your business, will explore everything you need to know about getting your ducks in a row. Join us live Thursday, Sept. 29, 2022 from 1 to 2 p.m. ET to learn about: The importance of building a strong relationship with your financial institution Steps on how to secure a business loan, including how to prepare and what documents are required The various types of financing that are available from the Business Development Bank of Canada (BDC) to support your specific business requirements How EDC’s products and services can help you secure financing and working capital What programs, resources and government grants are available Our panel Moderator Ryan Smith Partnerships director Export Development Canada Speakers Constance O’Brien Senior Innovation Advisor, Innovation Canada Innovation, Science and Economic Development Canada Amanda Klucowicz Sr. Program Manager | Small Business & Partnerships Export Development Canada Amanda Klucowicz Florence Mazerolle Account manager, Virtual Business Centre BDC Participants visés Any Canadian business owner looking to get a business loan. Réservez votre place avec MonEDC Vous n'avez pas de compte? En créer un ici S'inscrire au webinaire Merci pour votre inscription Vous pouvez vous connecter 15 minutes avant le début du webinaire. Consultez votre tableau de bord Mon EDC pour obtenir de l’info sur le commerce et des conseils d’experts, ainsi que pour voir les événements. Il y a eu une erreur. Veuillez réessayer plus tard. Accédez à toutes les informations GRATUIT d’EDC, y compris des webinaires, guides et ressources internationales en créant un compte MonEDC. Votre compte MonEDC est distinct de tous les comptes utilisés pour les produits d’assurance d’EDC. Avant de partir! Vous êtes maintenant abonné! Vous recevrez par courriel notre bulletin ExportActions, qui regorge d'informations essentielles pour les entreprises canadiennes. Date de modification : 2023-08-15"

Le contexte des affaires en Corée du Sud n’est pas sans présenter quelques défis, comme le fait observer Joy Rankothge d’Export Développent Canada (EDC), représentant en chef : « Le marché de consommation sud-coréen est extrêmement dynamique. À l’heure actuelle, ce sont les consommateurs qui définissent les tendances régionales et internationales. Pour réussir, les entreprises canadiennes devront s’adapter à l’évolution rapide du marché local et intensifier leurs activités pour répondre à la demande. »

Voici quelques-uns des principaux obstacles auxquels doivent faire face les entreprises canadiennes :

• cadre réglementaire complexe;
• gestion de la logistique dans un marché éloigné;
• vive concurrence entre fournisseurs nationaux et étrangers;
• difficulté à comprendre les besoins, goûts et tendances qui évoluent rapidement;
• méconnaissance des entreprises nationales qui dominent le commerce électronique coréen;
• culture d’entreprise insulaire et hiérarchique difficile à saisir pour de nombreux étrangers.

Au vu de ces difficultés particulières, les entreprises canadiennes auront tout avantage à embaucher un partenaire local qui parle coréen et qui comprend les traditions, les normes et les processus du pays.

Ressources supplémentaires

• Notre stratégie en Indo-Pacifique pour les exportateurs canadiens | EDC
• Le potentiel de l’Indo-Pacifique | EDC
• Renseignements sur les marchés de l’Indo-Pacifique | EDC
• Conseillers en accès aux marchés | EDC
• Conseils pour faire des affaires en Corée du Sud | EDC

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(%) Marge nette (%) Rendement des capitaux propres (%) Rendement des actifs (%) Agriculture, foresterie, pêche et chasse 83,4 7,5 9,0 19,0 7,8 6,4 3,1 Extraction de pétrole et de gaz et activités de soutien 153,7 7,9 5,1 27,4 -0,6 0,4 0,2 Extraction minière et exploitation en carrière 49,5 8,3 16,6 51,2 26,3 3,9 2,4 Services publics 39,2 7,1 18,2 36,2 13,3 7,3 2,8 Construction 369,0 15,8 4,3 7,8 4,0 10,9 3,6 Fabrication 856,5 56,5 6,6 11,0 4,7 9,4 4,3 Commerce de gros 810,6 35,6 4,4 5,9 3,1 12,3 5,1 Commerce de détail 642,8 24,5 3,8 6,5 3,1 12,6 4,9 Transport et entreposage 216,6 29,6 13,7 22,3 8,6 9,9 4,2 Industrie de l’information et industrie culturelle 121,3 19,9 16,4 29,7 7,2 11,7 3,7 Services immobiliers et services de location à bail 127,0 30,3 23,9 45,0 23,9 10,3 3,9 Services professionnels, scientifiques et techniques 185,5 16,3 8,8 14,7 10,4 16,7 8,7 Services administratifs, services de soutien, services de gestion des déchets et services d’assainissement 104,3 5,6 5,4 11,7 6,6 14,2 7,0 Services d’enseignement, soins de santé et assistance sociale 83,7 21,7 25,9 31,7 23,1 24,2 15,0 Arts, spectacles et loisirs 17,6 2,0 11,6 18,1 7,8 14,2 4,9 Services d’hébergement et de restauration 89,6 5,5 6,1 11,0 4,7 17,8 4,9 Services personnels 44,7 3,5 7,9 12,7 6,5 13,0 5,8 Finance et assurances 499,1 132,2 26,5 10,1 Total, tous secteurs confondus 4 494,2 429,9 9,6 9,8 Total, finance exclue 3 995,0 297,6 Moyenne, finance exclue 235,0 17,5 11,0 21,3 9,4 11,5 5,0 Nota – * Les montants sont en milliards de dollars canadiens courants de 2019. Un fond rouge (vert) indique un résultat inférieur (supérieur) à la moyenne des secteurs non financiers. Source : Statistique Canada (33-10-0007-01) 2.2.3 Ratios d’emprunt et de levier financier Un dernier ensemble d’indicateurs concerne la structure du capital, l’endettement et la capacité à soutenir les emprunts, ces facteurs étant mesurés en partie par le ratio capitaux empruntés/capitaux propres et le ratio dette-actif total3. Crédit aux entreprises : Les secteurs où les entreprises ont contracté le plus d’emprunts sont les suivants : fabrication (170 G$); transport et entreposage (158 G$); pétrole et gaz naturel (144 G$); services immobiliers (124 G$); et information (106 G$). Ratio capitaux empruntés/capitaux propres : Chaque secteur a des normes différentes quant au ratio capitaux empruntés/capitaux propres, en raison des différences dans les conditions fondamentales d’exploitation, les cycles d’exploitation, les besoins d’investissements en capital, les taux de rendement, etc. Les secteurs affichant un ratio capitaux empruntés/capitaux propres comparativement élevé sont les suivants : services d’hébergement et de restauration (213 %); information (151 %); arts, spectacles et loisirs (149 %); construction (146 %); services immobiliers (145 %); services publics (116 %); et commerce de détail (103 %). Ratio dette-actif total : Ces secteurs sont aussi ceux ayant le niveau d’emprunt le plus élevé en proportion des capitaux propres4. Les seuls secteurs qui s’ajoutent sont les suivants : agriculture (30 %); et transport et entreposage (33 %). 3 Le numérateur n’inclut pas tous les passifs; il est donc possible que d’autres obligations siphonnent les liquidités des entreprises. 4 Les données ne donnent pas d’indications sur les modalités (taux d’intérêt, frais), l’échéancier des dettes (court terme contre long terme, nombre d’années pour le long terme) et le calendrier des paiements (principal et intérêts dans les prochaines années). Elles mettent simplement en évidence les secteurs ayant le niveau d’emprunt le plus élevé, qui pourraient être vulnérables dans les circonstances actuelles s’ils n’arrivent pas à générer des bénéfices suffisants pour couvrir les intérêts et rembourser le principal. Tableau 4 : Ratios d’emprunt et de levier financier, 2019 Secteur Crédit aux entreprises (G CAD) Ratio capitaux empruntés/capitaux propres (%) Ratio dette-actif total (%) Agriculture, foresterie, pêche et chasse 44,0 89,6 30,1 Extraction de pétrole et de gaz et activités de soutien 143,8 89,5 21,5 Extraction minière et exploitation en carrière 25,6 37,3 10,1 Services publics 81,6 115,8 41,4 Construction 73,7 146,2 28,0 Fabrication 170,1 67,9 16,1 Commerce de gros 76,8 79,0 16,2 Commerce de détail 85,6 102,7 26,3 Transport et entreposage 157,8 93,3 32,6 Industrie de l’information et industrie culturelle 106,3 151,0 38,8 Services immobiliers et services de location à bail 123,9 145,2 39,6 Services professionnels, scientifiques et techniques 34,7 54,9 13,3 Services administratifs, services de soutien, services de gestion des déchets et services d’assainissement 21,0 71,0 20,6 Services d’enseignement, soins de santé et assistance sociale 13,1 48,4 24,3 Arts, spectacles et loisirs 7,0 148,6 28,8 Services d’hébergement et de restauration 18,4 213,2 35,6 Services personnels 7,3 86,9 19,8 Total, tous secteurs confondus 1 190,7 84,9 Moyenne, finance exclue 70,0 102,4 26,1 Nota – Un fond rouge (vert) indique un niveau d’emprunt supérieur (inférieur) à la moyenne des secteurs non financiers. Les données sur le crédit aux entreprises comprennent les prêts et autres emprunts; les acceptations bancaires et les billets de trésorerie; ainsi que les obligations et les débentures. Nous n’incluons pas les prêts hypothécaires, qui sont assez importants dans les secteurs des services immobiliers, de l’enseignement, de l’hébergement et, dans une moindre mesure, de la construction et de l’agriculture. Source : Statistique Canada (33-10-0007-01) Section 3. Inférence des chocs sectoriels d’après les évaluations boursières Les marchés des capitaux ont fortement réagi aux développements liés à la COVID-19. La présente section analyse les fluctuations récentes des cours boursiers pour en dégager une mesure simple des répercussions potentielles de la pandémie sur les divers secteurs. En principe, les évaluations boursières représentent les attentes collectives des intervenants du marché à l’égard de la valeur actualisée des flux de trésorerie futurs. Ces évaluations ont considérablement baissé depuis le début de 2020, malgré les mesures énergiques prises récemment par les banques centrales du monde entier pour réduire les taux d’intérêt et injecter des liquidités sur les marchés. Au 23 mars, l’indice composé S&P/TSX global avait reculé de 31 % depuis le début de l’année. En fait, les 43 indices sectoriels5 sous surveillance ont diminué au cours de cette période. Il y a néanmoins des différences notables entre les secteurs : ceux dont les profits sont particulièrement vulnérables à la COVID-19 ont chuté beaucoup plus que la moyenne. Le tableau 5 montre les secteurs les plus durement touchés sur les marchés boursiers canadiens depuis le début de 2020. Ces secteurs, comme prévu, sont les suivants : • divertissement, hôtels, restaurants et tourisme; • transport aérien et aéronautique; • énergie; • équipement électrique; • produits de consommation (loisirs, biens de luxe); • produits pharmaceutiques. 5 Cette classification sectorielle (GICS) diffère de celle utilisée dans les autres sections du rapport (SCIAN), mais nous avons élaboré une procédure de mise en correspondance pour permettre les comparaisons entre les deux. 10,000 12,000 14,000 16,000 18,000 20,000 Jan 01 Jan 16 Jan 31 Feb 15 Mar 01 Mar 16 Valeur de référence moyenne (1er au 10 janvier) : 17 145 Moyenne des trois derniers jours : 11 915 Écart : -31 % Nota – Au 23 mars 2020. Source : Haver Analytics Indice composé S&P/TSX Section 4. Pressions potentielles sur les emprunts par secteurs Compte tenu de la situation financière initiale décrite plus haut (section 2.2) et du choc sur les marchés des capitaux (section 3), nous pouvons désormais estimer l’ampleur des pressions potentielles sur le financement par secteurs. Précision importante : il s’agit d’un exercice réalisé à titre indicatif pour mettre au jour des relativités sectorielles, et pas nécessairement des besoins d’emprunt précis, vu l’incertitude considérable entourant le contexte économique actuel. Nous utilisons des hypothèses de simplification pour fournir des résultats statiques indicatifs. Nous faisons subir un choc à l’encours des emprunts au quatrième trimestre de 2019 dans chaque secteur, selon l’ampleur des chocs sur les marchés des capitaux estimés plus haut. Nous comparons ensuite les résultats à l’évolution des emprunts observée durant la crise financière mondiale de 2008-2009 pour inférer des ampleurs relatives. Pressions absolues sur les emprunts : Les résultats présentés dans le tableau 6 indiquent des pressions notables sur les emprunts, totalisant quelque 521 milliards de dollars canadiens. Ces pressions se concentrent dans quatre secteurs, qui représentent ensemble 58 % de l’augmentation implicite totale des emprunts : services immobiliers (100 G$, dont 62 G$ en prêts hypothécaires); fabrication (74 G$); pétrole et gaz naturel (73 G$); et transport et entreposage (57 G$). 17 17 7 2 -10 > x ≥ -30% -30 > x ≥ -50% -50 > x ≥ -70% -70 > x ≥ -90% Nota – Au 23 mars 2020. Source : Haver Analytics Rendement sectoriel TSX Nombre de secteurs par pertes boursières Tableau 5 : 10 secteurs dont les actions ont perdu le plus de valeur depuis le début de 2020 Secteur Baisse depuis le début de 2020 (%) Divertissement -73,3 Transport aérien -66,2"