L’Australie a conclu des accords de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande, Singapour, les États-Unis, la Thaïlande, le Chili, l’Association des Nations de l’Asie du Sud-Est (ANASE), la Corée, le Japon, les pays ayant ratifié l’Accord du Pacifique pour un renforcement des relations économiques (PACER Plus), l’Indonésie, Hong Kong, la Malaisie, la Chine et le Pérou, et est en négociation avec d’autres – notamment l’Union européenne et l’Inde. Ces accords à eux seuls représentent un atout pour les entreprises canadiennes souhaitant faire des affaires en Australie : en nouant un partenariat avec une société australienne ou en vous établissant au pays, vous pourrez tirer parti de ces accords de libre-échange lorsque vous exportez depuis l’Australie vers ses marchés partenaires.
Le plus important accord commercial ratifié par le Canada dans la région du Pacifique est le récent Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP). Y participent non seulement le Canada et l’Australie, mais aussi le Japon, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, Singapour et le Vietnam. D’autres pays s’ajouteront plus tard à la liste, mais cet énorme bloc commercial représente déjà au moins 500 millions de consommateurs potentiels et 13,5 % du produit intérieur brut (PIB) mondial.
Le PTPGP ouvre un vaste marché aux entreprises canadiennes et les rend plus concurrentielles du fait qu’il élimine ou réduit considérablement les barrières tarifaires entre les pays membres. Lorsqu’il sera pleinement mis en œuvre, 99 % des lignes tarifaires seront exemptes de droits de douane. Certaines marchandises canadiennes, comme le poisson, les fruits de mer et les produits forestiers, peuvent déjà entrer sur les marchés du PTPGP en franchise de droits de douane.
Ressources supplémentaires
"Hong Kong est l'un des centres financiers internationaux les plus importants au monde. En 2022, l'industrie des services financiers était le principal moteur de son produit intérieur brut (PIB), suivie par l'industrie du commerce et de la logistique.
Les ressources suivantes vous aideront à obtenir des informations et des données commerciales sur les relations commerciales entre le Canada et Hong Kong :
Données sur le commerce en direct
**Le Conseil d’affaires Canada-Chine (CCBC) **
**Service des délégués commerciaux (SDC) **
L’Agence fédérale de développement économique (FedDev) Ontario
Une autre option pour obtenir des données sur les marchés est de travailler avec un consultant qui peut vous aider à réaliser une étude de marché pour vos produits spécifiques.
Votre stratégie d’accès aux marchés devrait comprendre les quatre composantes essentielles suivantes.
Adaptation du produit au marché
Si votre produit est bien accueilli dans une région, cela ne signifie pas qu’il le sera dans une autre. Pour déterminer si votre produit sera prisé sur de nouveaux marchés, vous devez tenir compte des trois grands volets suivants :
La taille du marché
Le marché visé est-il suffisamment vaste pour que vous puissiez y accroître vos activités? Vu les coûts fixes associés à l’établissement d’une entreprise à l’international, il faut que le marché en question soit d’une taille minimale pour justifier la décision de s’y implanter.
L’analyse de la profitabilité
Si la vente de votre produit est profitable sur un marché, ce n’est pas forcément le cas ailleurs. Plusieurs facteurs jouent sur la profitabilité au moment de se lancer à l’international, notamment les suivants :
Le choix des marchés prioritaires
Vous envisagez de prendre de l’expansion sur un nouveau marché où les débouchés sont nombreux? Voici quelques éléments à considérer :
EDC et ses partenaires de MaRS ont cocréé et publié d’excellentes ressources qui peuvent vous aider à définir votre stratégie d’accès aux marchés. Vous trouverez ces ressources dans notre collection de ressources à l’appui de la croissance internationale.
"Le commerce électronique en Chine offre de nombreux débouchés aux marchands en ligne du Canada. Voici comment profiter de ce canal.
Ressources supplémentaires
Vous trouverez ci-dessous diverses sources de financement et subventions qui pourraient vous intéresser. Veuillez toutefois prendre note que chaque programme a ses propres conditions d’admissibilité. Assurez-vous donc que vous êtes admissible avant de faire une demande.
Ressources supplémentaires
Consultez les ressources et guides ci-dessous pour mieux comprendre comment faire des affaires en Allemagne.
Planification de l’exportation
Études de marché
Risques
Ressources supplémentaires
Une croissance économique rapide. Des projets d’infrastructure d’envergure. Des milliards de clients potentiels, notamment au sein d’une classe moyenne émergente à la recherche de nouveaux produits et services. Voilà quelques-unes des raisons pour lesquelles l’Indo-Pacifique est devenu une destination de choix pour les entreprises canadiennes en quête de diversification commerciale.
L’Indo-Pacifique compte quelques-unes des économies les plus dynamiques au monde – et la demande est au rendez-vous. Réunies, ces économies forment le deuxième bloc commercial en importance pour les biens et services canadiens, la Chine, le Japon et la Corée du Sud figurant parmi les dix principales destinations d’exportation du Canada.
Par sa simple taille, l’Indo-Pacifique recèle un potentiel inexploité pour les exportateurs canadiens. Pour le gouvernement du Canada et Exportation et développement Canada (EDC), l’intensification du commerce et des investissements du Canada en Asie et en Indo-Pacifique est une priorité, car les marchés diversifiés de la région – en pleine croissance – présentent des occasions alléchantes dans les secteurs prioritaires.
Ressources supplémentaires
"D’ici 2040, l’Indo-Pacifique devrait représenter 50 % du produit intérieur brut (PIB) mondial et 40 % de la consommation planétaire. Cette région à forte croissance est une destination prometteuse pour les entreprises canadiennes cherchant à se diversifier au-delà de l’Amérique du Nord et à percer de nouveaux marchés étrangers. La demande de divers biens et services canadiens est vigoureuse, et les occasions de placement ne manquent pas. Voici quelques facteurs en jeu :
PORT Développement Canada (EDC) dénote également une correspondance entre la demande régionale et l’offre canadienne dans les secteurs suivants :
Ressources supplémentaires
"Consultez les ressources et guides ci-dessous pour mieux comprendre comment faire des affaires en France.
Planification de l’exportation
Études de marché
Risques
Ressources supplémentaires
EDC s’est engagée à appuyer la croissance internationale des entreprises détenues et dirigées par des Autochtones**.** Sastratégie en matière de commerce inclusifa été lancée dans le but de créer davantage de débouchés, d’offrir un soutien sous forme de capitaux propres au milieu des affaires autochtone et d’accroître la portée de l’action d’EDC en matière d’inclusion, de diversité et d’équité.
Les entreprises détenues ou dirigées par des Autochtones peuvent aussi profiter de l'appui d’autres organismes gouvernementaux et non gouvernementaux.
Programmes de financement pour les entreprises autochtones
Il est conseillé de bien cerner les ressources et les programmes de soutien qui sont offerts dans votre région afin de brosser un tableau des options à votre disposition.
Ressources supplémentaires
Consultez les ressources et guides ci-dessous pour mieux comprendre comment faire des affaires au Portugal.
Planification de l’exportation
Études de marché
Risques
Ressources supplémentaires
"Pense au trois Ps:
Ressources supplémentaires
Consultez les ressources et guides ci-dessous pour mieux comprendre comment faire des affaires en Hongrie.
Planification de l’exportation
Études de marché
Risque et capacité concurrentielle
Ressources supplémentaires
"Exportation et développement Canada (EDC) a qualifié la Corée du Sud de « joyau insoupçonné » pour les entreprises canadiennesqui souhaitent explorer des marchés non traditionnels. Véritable porte d’entrée de la région indo-pacifique, la Corée du Sud allie forte croissance et stabilité, ce qui en fait un marché attrayant pour les exportateurs et les investisseurs canadiens.
Les 51,8 millions de Sud-Coréens jouissent d’un niveau de vie enviable. Leur pouvoir d’achat collectif dynamise le marché de détail national, où la demande est forte pour les produits et services numériques, les aliments frais et transformés, les articles de luxe et les articles de loisir. Contrairement à d’autres marchés de l’Indo-Pacifique où les fournisseurs doivent maintenir leurs prix bas pour faire face à la concurrence, les Sud-Coréens sont prêts à payer plus cher pour obtenir des produits de qualité.
Voici quelques secteurs pouvant le plus profiter de l’offre canadienne :
Ressources supplémentaires
"Planification de l’exportation
Études de marché
Ressources supplémentaires
"Un bon premier pas est de consulter la fiche Info-pays sur le Mexique et l'article « Faire affaire au Mexique » d'Exportation et développement Canada (EDC). Les ressources suivantes peuvent aussi vous être utiles :
Protéger votre PI au Mexique
Consultez les ressources suivantes si vous voulez en savoir plus sur les façons de protéger votre PI à l'étranger, notamment sur les droits d'auteur, les brevets, les marques de commerce et les secrets commerciaux :
Offices mexicains de la propriété intellectuelle
Ressources supplémentaires
Consultez les ressources et guides ci-dessous pour mieux comprendre comment faire affaire en Inde.
Planification de l’exportation
Les affaires en Inde
Renseignements sur le marché
Risque et capacité concurrentielle
Les ressources suivantes peuvent vous renseigner sur la vente à des gouvernements étrangers.
Ressources supplémentaires
"Si vous comptez exporter des denrées alimentaires sur des marchés étrangers, vous devez vous assurer que vos produits respectent la réglementation sur la salubrité et les exigences en matière d’étiquetage du pays d’importation.
C’est l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) qui assure la sécurité et la réglementation de l’exportation d’aliments, de plantes ou d’animaux à partir du Canada. Elle fournit également des lignes directrices ainsi que des certifications d’exportation.
Sur son site, vous avez accès à un guide par étapes sur l’exportation d’aliments, ainsi qu’aux exigences pour obtenir une certification d’exportation d’aliments pour votre marché cible.
Expédition
Il faut tenir compte de la distance jusqu’au marché cible dans l’estimation des coûts et des débouchés potentiels pour l’exportation de produits alimentaires, mais aussi des points suivants : le mode d’expédition, les exigences relatives à la température des marchandises en transit et les coûts d’expédition. Un transitaire peut vous aider à choisir le meilleur mode de transport pour vous, mais aussi à connaître les exigences d’expédition régissant vos marchandises.
L’outil EnListe d’EDC vous permet de trouver des transitaires de confiance.
Exigences douanières et réglementaires
L’importation de produits alimentaires est soumise à une réglementation, des exigences en matière de documentation et des procédures différentes d’un marché à l’autre. Il est essentiel de collaborer avec un courtier en douane ou un transitaire pour vous assurer de respecter la réglementation locale et les exigences douanières sur votre marché cible.
Pour en savoir plus sur le marché qui vous intéresse et les exigences relatives à l’exportation d’aliments, cliquez ici.
Pour en savoir plus sur l’exportation de marchandises, consultez le Guide à l'exportation de marchandises du Canada de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) prévu à cet effet.
Droits d’importation
Vérifiez s’il existe un accord de libre-échange (ALE) en vigueur entre le Canada et votre marché cible. En effet, un ALE permet un accès préférentiel aux marchés des pays membres, ce qui peut éliminer ou réduire les taux tarifaires sur vos exportations.
Vous trouverez une liste de tous les ALE du Canada ici.
"Considérez les ressources suivantes
En 2023, Export Développement Canada établira des représentations à Jakarta, en Indonésie et à Séoul, enCorée du Sud. Elles s’ajouteront à celles que nous avons déjà dans la région indo-pacifique. En mettant en place de solides équipes sur ces marchés importants, EDC rapproche les entreprises canadiennes des acheteurs de la région.
Nous adaptons également nos solutions de financement et d’assurance afin de répondre aux besoins des exportateurs canadiens et de leurs clients en Indo‑Pacifique, par exemple :
Nos représentants ont pour objectif de tisser des relations stratégiques et des liens personnels avec les leaders du marché qui partagent nos valeurs ESG (environnemental, social and gouvernance) afin de leur faire connaître les capacités canadiennes correspondant à leurs solutions et chaînes d’approvisionnement. Cette démarche facilite l’accès des entreprises canadiennes aux marchés de cette région à fort potentiel.
À mesure que nous engagerons des employés dans la région, nos équipes compileront des renseignements à jour et détaillés sur ces marchés; les exportateurs canadiens auront ainsi ce qu’il leur faut pour trouver des débouchés et surmonter les problèmes opérationnels.
Notre équipe canadienne collabore avec nos partenaires des ministères et des sociétés d’État pour que les entreprises et les investisseurs canadiens puissent profiter de l’ensemble des programmes, de l’expertise et du soutien dont ils ont besoin pour étendre leurs activités dans la région indo-pacifique.
Ressources supplémentaires
"Le gouvernement du Canada, par l'intermédiaire du Service des délégués commerciaux (SDC), offre des programmes de financement et de soutien aux exportateurs, aux innovateurs, aux associations et aux communautés afin qu'ils développent leurs activités et accèdent à de nouveaux débouchés internationaux par l'intermédiaire de CanExport, notamment :
Ressources supplémentaires
"Le Canada est un chef de file mondial dans les sphères des technologies propres et de l’innovation grâce à son expertise croissante dans les technologies agricoles, la production d’énergie renouvelable et les technologies immobilières.
En effet, le pays s’est classé au deuxième rang du classement 2021 du _Global Cleantech Innovation Index _(Indice mondial de l’innovation dans les technologies propres). Les débouchés se multiplient pour ce secteur à l’heure où le monde s’engage sur la voie d’un avenir sobre en carbone.
Depuis 2012, les technologies propres comptent parmi les priorités d’EDC. Au cours de la dernière décennie, notre appui aux exportations de plus de 300 entreprises canadiennes de ce secteur a dépassé les 20 milliards de dollars.
Aujourd’hui, on admet beaucoup plus facilement qu’en 2012 que le monde fait face à une crise climatique et qu’il est impératif d’accélérer l’adoption de technologies propres si l’on veut réduire les émissions et concrétiser un avenir plus durable. EDC est résolue à aider à hausser la barre et à soutenir les entreprises ayant une vision pour un avenir plus prometteur et plus vert.
Ressources supplémentaires
La demande sud-coréenne dans les filières de l’agriculture et l’agroalimentaire recèle un potentiel énorme pour les exportateurs canadiens. Restreinte par des capacités intérieures limitées, la Corée du Sud est un importateur net de produits alimentaires. En 2020, le Canada était le dixième fournisseur de produits agroalimentaires de la Corée du Sud avec des exportations de l’ordre de 1,2 milliard de dollars et la douzième source d’importation d’aliments transformés. Nul doute que notre part du marché coréen augmentera à mesure que l’ALECC supprimera les droits à l’importation d’un nombre croissant de produits agricoles, alimentaires et agroalimentaires canadiens.
L’envie de consommer des aliments biologiques et de grande qualité de même que l’évolution des habitudes alimentaires des Sud-Coréens créent des débouchés supplémentaires pour les produits canadiens. Les consommateurs deviennent plus soucieux de leur santé et dépensent davantage pour incorporer des aliments de meilleure qualité et plus chers (viande, fruits de mer, fruits et légumes frais et aliments biologiques) à leur régime alimentaire. Une autre tendance qui sourit aux producteurs canadiens est la montée en popularité de la nourriture traditionnelle occidentale comme les produits laitiers et à base de blé.
Ressources supplémentaires
"Pour réussir dans l’UE, vous pouvez passer en revue le guide Faire des affaires dans l’Union européenne. Ce guide met en évidence les principaux secteurs d’activité de l’Europe et décrit les risques et les avantages d’une expansion dans les marchés en question. Les entreprises canadiennes peuvent aussi tirer profit de l’Accord économique et commercial global Canada-Union européenne (AECG).
Ressources supplémentaires